Sous l’impulsion présidentielle et une exécution rigoureuse, la capitale guinéenne se métamorphose.
Conakry connaît aujourd’hui une transformation d’ampleur. Portée par la vision du président Mamadi Doumbouya et mise en œuvre sous la conduite opérationnelle de Djiba Diakité, cette dynamique urbaine dépasse la seule modernisation des infrastructures. Elle s’inscrit dans une approche globale visant à repenser le cadre de vie et à poser les jalons d’une capitale plus fonctionnelle, inclusive et résolument tournée vers l’avenir.
Plusieurs projets structurants témoignent de cette orientation. La contournante du port, conçue pour désengorger un trafic longtemps saturé, ambitionne de fluidifier la circulation et de renforcer les échanges économiques. Le parc sportif du 8 Novembre participe, pour sa part, à la modernisation des équipements publics tout en favorisant la vie citoyenne. À ces réalisations s’ajoute la Cité de Coronthie, dont la première pierre a récemment été posée par le Premier ministre, annonçant la requalification d’un quartier stratégique et la création de nouveaux espaces de vie.
Cette transformation ne se limite pas aux infrastructures lourdes : elle intègre également une dimension sociale et récréative longtemps négligée. En face du Palais du Peuple, le Lac Gbassikolo fait l’objet d’un vaste aménagement comprenant un plan d’eau doté d’un jet d’eau, un jardin public, une aire de jeux pour enfants et des infrastructures d’accueil. L’objectif est de restituer aux familles des espaces de détente et de convivialité au cœur de la ville.
Dans la même logique, des quartiers comme Sangoyah voient émerger des espaces dédiés aux loisirs, traduisant une volonté de mieux encadrer le temps libre, notamment celui de la jeunesse. La création de la Direction Générale des Loisirs, une première dans l’organisation administrative du pays, illustre cette prise de conscience : le développement urbain ne saurait être dissocié du bien-être social.
Le secteur éducatif n’est pas en reste. À Coronthie, une nouvelle école primaire publique a été réalisée, comprenant 24 salles de classe, une bibliothèque, une cantine scolaire, des blocs sanitaires et un terrain de basketball. Cette infrastructure s’inscrit dans un programme plus large de réhabilitation des établissements scolaires, qui a déjà concerné le lycée de Coléah et le collège 2 de Bouibinet, contribuant à améliorer les conditions d’apprentissage.
Pris dans leur ensemble, ces chantiers esquissent le visage du Conakry de demain : une capitale pensée dans une logique de développement urbain structuré, où les investissements publics concilient modernité, fonctionnalité et qualité de vie. À travers cette dynamique, le président Mamadi Doumbouya affirme une vision, tandis que Djiba Diakité en assure l’exécution sur le terrain, traduisant la volonté de l’État d’inscrire la transformation de Conakry dans la durée.
Aucune région du pays n’est restée à l’écart de cette dynamique : toutes ont été touchées, à des degrés divers, par l’impulsion et l’action du président Mamadi Doumbouya.
Au-delà de Conakry, le souffle de la transformation gagne progressivement l’ensemble du territoire. À Koloma, la future cité administrative sort de terre, ses silhouettes modernes redessinant déjà l’horizon. Si la cadence se maintient, Conakry sera méconnaissable dans quelques années.
De Koloma à Kipé, en passant par les grands ensembles qui longent le littoral – Plaza Diamond, Kobaya, Lambanyi, Samatran – c’est un nouveau visage qui émerge. Des milliers de logements structurent l’espace urbain, incarnant une ambition claire : faire de Conakry une capitale moderne, fonctionnelle et résolument tournée vers l’avenir.
Pierre après pierre, quartier après quartier, la ville se réinvente. Et cette métamorphose porte une signature : celle de Mamadi Doumbouya, dont la vision urbanistique transforme déjà Conakry et inspire l’ensemble du pays.
Nous reviendrons dans un prochain article sur le mégaprojet Simandou, un autre pilier de cette ambition nationale de développement.
Par Ibrahima Koné












