Ce n’est un secret pour personne, le magazine hebdomadaire panafricain Jeune Afrique a trahi ses idéaux depuis fort longtemps. Sa ligne éditoriale a été galvaudée et transformée en planche à billets par son Directeur de la Rédaction, le journaliste alimentaire François Soudan.
Sans la moindre dignité, aux antipodes de l’éthique et de la déontologie du noble métier qu’est le journalisme, avec son esprit du lucre, il se sert du vieillissant et finissant « Jeune Afrique » pour cracher son venin sur toutes les personnalités qui ont démasqué ce colporteur de mensonges, qui a vendu son âme au diable, depuis des décennies.
François Soudan, que tu le veuilles ou non, qu’il te plaise ou pas, sous la clairvoyance, le leadership éclairé du Général-refondateur, le bâtisseur, Son excellence le Président Mamadi Doumbouya, la République de Guinée, pays fier, indépendant et souverain, qui n’a de leçons à recevoir de personne, sort de sa torpeur, se réveille, prend son essor et entend suivre sa propre voie, depuis la date historique du 05 septembre 2021, date marquant le départ salutaire et salué de l’octogénaire qui te nourrissait maladroitement du fruit du labeur des Guinéens.
Le départ libérateur des Guinéens de la dictature d’Alpha Condé ne plaît guère au plumitif d’arrière-garde François Soudan, qui vient de sortir un édito décousu et télécommandé, qui s’intitule : » Guinée : Transition à durée indéterminée ».
Piqué par on ne sait quelle mouche, dans son tissu de mensonge, le mercenaire de la plume s’en prend encore, pour la énième fois, au patriote, au bâtisseur, au libérateur, le Général Mamadi Doumbouya en l’occurrence, sans considérer ni la vision, ni l’œuvre, ni la popularité de ce Grand Homme d’État parmi ses compatriotes et dans toute l’Afrique avant-gardiste.
François Soudan divague, délire et se perd en fadaises. Au grand dam du noble métier de journalisme. Quoi d’étonnant dans l’attitude et le comportement du Directeur de la Rédaction des restes du magazine « Jeune-à-fric » qui passe le plus clair de son temps à faire chanter de respectables dirigeants Africains pour tenter de se remplir les poches, toute honte bue.
Les yeux tournés vers la terre, il compte son or. Il ne sait élever le regard et contempler dans toute sa magnificence un colosse étoilé par ses compagnons d’armes, adoré par son peuple, qui s’en fiche des maîtres autoproclamés et autres donneurs de leçons de tout acabit, des cassandres et autres sycophantes.
François Soudan, mange ce que tu as éhontement recolté et tais-toi ! Continue à te goinfrer de l’argent dérobé aux Guinéens par les ennemis du Peuple, qui ruminent des pensées sombres et donnent des coups fourrés à celui qui relève la Guinée et la dresse comme une colonne d’airain à la face du Monde. Tiens-toi bien François Soudan ! Sache que le Général Mamadi Doumbouya tient fermement le gouvernail du navire Guinée, brave les flots impétueux et les tempêtes déchaînées. Impassible et impavide, le Général, bon amiral, garde le cap.
François Soudan, repais-toi d’argent sale, le Général Mamadi Doumbouya ne t’en donnera point. Il veille jalousement sur les deniers publics guinéens. Tu as beau t’agiter, tu as beau scribouiller pour un revanchard assis dans son tabernacle et y psalmodiant des imprécations contre le vaillant libérateur, le bâtisseur providentiel, le Général Mamadi Doumbouya, Président de la République, Chef de l’État, Chef Suprême des Armées.
François Soudan, tes torchons pourraient te servir à un usage personnel commode, mais ils constituent des coups d’épée dans l’océan, lorsqu’ils visent à pourfendre une force tranquille, le bien-aimé Président guinéen, l’Enfant prodige de Kankan-Nabaya, le digne héritier de la Maman nationale, Hadja Mandioula Sylla.
Mercenaire de la plume, va ! Ennemi de la grande Guinée, casse-toi. Tu ne saurais empêcher les rayons du soleil de toucher les Guinéens….
Avec le CNRD et son dynamique Président, ce sont les Guinéens qui gagnent, pour que perdent les mercenaires de la plume qui avaient pignon sur rue à Conakry…
À vos ordres, mon Général ! Les Guinéens sont fiers de vous. Tant pis pour les aigris, qui ont perdu des intérêts égoïstes en Guinée….
Mandian SIDIBÉ
Journaliste