Le concours d’entrée dans les établissements d’enseignement technique et de formation professionnelle session 2024-2025 ont été lancés ce jeudi 26 septembre 2024 à l’ENAM par le général Amara Camara, ministre, secrétaire général de la présidence de la république.
Pour garantir la transparence, l’inclusion, et l’égalité des chances à tous les candidats, le concours a été digitalisé. Les candidats sont évalués sur des tablettes.
« Ce qui est promis par le CNRD, est que la transparence soit de mise. Mais aussi l’inclusion et l’égalité de chance. Seul le digital pourrait nous aider à faciliter ça, et la rapidité aussi dans le traitement des résultats. Vu que c’est la technologie, on ne peut pas certifier tout, même dans les pays les plus avancés les soucis peuvent advenir, mais le travail a été fait avec tout le service impliqué dans les questions de digitalisation, et les services impliqués dans la question des données en Guinée. Donc ce n’est pas seulement le ministère de l’enseignement technique qui a travaillé, nous avons même travaillé avec ceux du département de l’enseignement pré-universitaire, pour dire combien de fois on peut travailler en synergie et coordonner l’activité d’un sectoriel qui a été fait pour maximiser les chances de réussite de ce processus. Nous pionchons dans un bassin. C’est de vérifier que vous avez le niveau de ce bassin. C’est pas de vérifier que vous savez faire de l’électricité . C’est à la sortie qu’on apprécie ça. Donc la science des examens autorise qu’on utilise le digitale pour la rentrée, en terme de concours et c’est le niveau terminal qui est vérifier, » a fait savoir Mamadou Condé, conseiller principal de la ministre l’enseignement technique et de formation professionnelle
Pour la journée d’aujourd’hui, deux centres sont retenus selon Sékou 2 Camara, chef service d’examen et concours scolaire.
« Le centre de l’ANSAG et le centre de l’ENAM ,les deux centres vont recevoir uniquement les options de BTS( Brevet de Technicien Supérieur) . Cette première innovation au niveau de l’enseignement technique prônée par madame la ministre a bien démarré. Et nous contunierons sur cette lancée, dans les années à venir, pour que nos apprenants soient dans le monde du numérique maintenant. Nous sommes à 10 milles 9 cents quatre-vingt 10980 candidats inscrits pour le concours d’entrée cette année, dans nos institutions d’enseignement technique et de la formation professionnelle publique. Il y’a une différence avec les années précédentes, parce cette année avec l’innovation de madame la ministre il y’a l’approche par compétence (APC) qui est recrutée… » a t-il conclu.
Gnima Aïssata Kébé