L’humanité en célébré ce 3 mai 2020, la journée internationale de la liberté de la presse.
Cette liberté a été instituée en 1789 dans la Déclaration universelle des droits de l’homme en son article 11 qui stipule: La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre à l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi.
A cette occasion, le président de l’UFDG, Cellou Dalein Diallo a d’abord fustigé la violation de cette liberté en Guinée: »La journée de la liberté de la presse me donne l’opportunité de condamner le musèlement de la presse dans notre pays où les entraves à la liberté d’expression se sont multipliées cette année. »
L’ancien premier ministre a par la suite, félicité leur travail fait: « Je félicite la presse guinéenne pour sa résilience et sa constance dans la promotion de la Démocratie et de l’Etat de droit. »
En 2019, la Guinée s’est classée 170è en ce qui concerne le respect de la liberté de la presse selon Reporters Sans Frontières.
Dans son rapport de 2019, l’organisation a relevé: « Le régime du président Alpha Condé n’est pas tendre envers la presse. Le président tient souvent des propos sévères envers les médias nationaux et internationaux, et les organisations de défense de la liberté de la presse. Les autorités tentent régulièrement de censurer les médias critiques du pouvoir sous des prétextes administratifs ou juridiques »
Levecu