Le continent africain dispose de grandes potentialités en matière de ressources minières, agricoles, démographique et de la biodiversité.
Pour garantir ce développement durable à l’échelle continentale des acteurs et où experts ont besoin d’outils utiles et indispensables pour l’élaboration des plans d’investissement fiable prenant en compte des réalités sur l’état des écosystèmes existants. C’est cet engagement qui anime les initiateurs du projet de coopération régionale pour de nouveaux indicateurs de comptabilité de l’écosystème en Afrique à travers l’organisation des séries de formations comme celle en cours à Ouagadougou au Burkina Faso, depuis le 16 septembre 2022.
L’intégration des résultats de la comptabilité écosystémique du capital naturel (CECN) dans les comptabilités nationales, et l’élaboration des comptes des infrastructures écosystémiques dans les paysages et des rivières, quelle méthodologie entreprendre, sont entre autres thématiques expliquées notamment par le Consultant de l’Observatoire du Sahel et du Sahara (OSS) et initiateur de la Comptabilité Ecosystémique du Capital Naturel (CECN) Monsieur Jean-Louis WEBER. Auparavant, l’Experte environnementaliste responsable de gestion de projets au Département Terre de l’OSS, a coordonné les présentations sur l’état d’avancement du projet COPERNICEA dans les six pays bénéficiaires à travers les points focaux nationaux. Des présentations qui ont porté entre autres le bilan des activités, le niveau de collecte des données, l’élaboration des comptes écosystémiques en plus des défis et difficultés énumérées par les points focaux. Des défis et difficultés qui varient selon les réalités nationales.
Noter que, les travaux de l’atelier régional autour du projet COPERNICEA se poursuivent à Ouagadougou au Burkina Faso et nous y reviendrons.
Mama Adama KEITA pour le www.rtgkoloma.info