L’ entrée universitaire pour les étudiants de la première année a été effective le lundi 03 février 2021 sur toute l’étendue du territoire national. A l’Université de Kindia située à 135 km de la capitale a reçu plus de 6 mille étudiants au compte de l’année académique 2020-2021.
Pour faciliter l’apprentissage des nouveaux venus défaillance avec ce nombre qui dépasse la capacité d’accueil de l’université, Pr Daniel Lamah,le recteur est revenu sur les dispositions prises.
Des dispositions annoncées à la presse ce Mercredi 03 février.
《 Dès hier nous avons reçu un nombre important d’étudiants orientés à l’université de Kindia. Bien avant qu’ils n’arrivent, des dispositions étaient prises pour l’ouverture générale en termes de désinfection sur la question sanitaire parce-que nous sommes toujours dans l’urgence sanitaire.
Les dispositions sur la procédure d’inscription ont été prises au niveau pédagogique et au niveau administratif. En outre, en fonction de la dynamique d’inscription des étudiants, on va réajuster les emplois du temps pour que la gestion des effectifs en fonction même de la capacité d’accueil de nos salles de classe puisse permettre de donner correctement les cours》 dira Pr Lamah.
Cette année, Kindia se classe à la deuxième place des universités à recevoir plus d’étudiants après celle de Sonfonia dans la capitale Conakry. Selon le recteur, cette pléthore s’explique par les différents choix des bacheliers.
《 La première réponse par rapport à ce nombre d’étudiants cette année, c’est qu’il y a eu beaucoup d’admis au bac et les bacheliers ont choisi de venir ici à l’université de Kindia parce-que la procédure d’orientation obéit un peu à ce qui se passait avant en terme de compétion. Tous les étudiants qui choisissent la même option sont mises en compétition avec le paramètre moyenne préférence de choix. Nous en tant que institution de l’enseignement supérieur public nous sommes en devoir de recevoir l’ensemble des étudiants qui sont orientés ici parce-que c’est de leurs droits et nous c’est de notre devoir. Donc, ils nous appartient de mettre en place un dispositif correct qui permet de faire suivre correctement les cours par les étudiants et de mobiliser les enseignants》 rassure Pr Daniel Lamah.
Joe Zoumanigui