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Kassory à Labé, Cellou à Tokounou, que retenir? ( Par Siaka Barry du MPDG)

La rédaction by La rédaction
12 octobre 2020
in A LA MINUTE, Actualités, Politique
Reading Time: 4 mins read
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Kassory à Labé, Cellou à Tokounou,  que retenir? ( Par Siaka Barry du MPDG)
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Bon entre nous…encore une fois disons nous la vérité ! Y’a quoi de nouveau dans la « jungle démocratique » de Guinée ? Qu’est-ce qui nous étonne et suscite tant de clameur ? En vérité la seule chose qui m’étonne aujourd’hui c’est notre propre étonnement devant ces événements (certes graves et condamnables) mais pourtant prévisibles, attendus et mêmes certains. Les événements de Tokounou, tout comme avant eux, ceux de Labé, sont à condamner par tout esprit lucide et réfléchi, mais une fois les condamnations de principes passées, scrutons-les de plus près…
Nous au MPDG, après avoir reçu notre dose amère lors de la grande mascarade électorale du 22 mars passé, nous avons tenu à alerter (de bonne foi) nos amis de l’opposition, contre tous les pièges dressés sur leur chemin, s’ils décidaient de cautionner une nouvelle farce électorale. Nous n’avons pas été entendus, pire nous avons été affublés de tous les noms d’oiseaux (taupes d’Alpha Condé, imposteurs, traîtres, espions du RPG et que sais-je encore 😃😀) !
Pourtant nous voulions simplement jouer un rôle de veille face aux dangers qui les guettaient s’ils poussaient la naïveté jusqu’à croire que le processus électoral actuel peut-être apaisé, transparent et régulier. Nous le faisions pour justement prévenir ces genres d’actes infâmes et préjudiciables à notre paix sociale. Car, pour un petit rappel, que n’avons-nous pas enduré, nous jeune parti politique (le MPDG) face à la chape de plomb et à la barbarie infernale de ce système rétrograde depuis plusieurs mois ? Combien de fois, mon cortège a-t-il été attaqué, arraisonné, empêché, brutalisé par des forces de l’ordre partisanes, des autorités locales deboussolées et des loubards à gage, sous le regard indifférent et souvent le sourire moqueur de nos propres pairs de l’opposition ? Ce que nous avons enduré à Siguiri, Mandiana, Kankan et Kouroussa, de la part de ces autorités zélées, était d’autant plus révoltant qu’il se passait dans un silence assourdissant et méprisant d’une opposition, qui, au lieu de militer pour une unité d’action face à cette dictature embryonnaire, tentait de façon incompréhensible, de jeter sur nous, l’opprobre et l’anathème. C’est le lieu pour moi d’avoir une reconnaissance sincère et fraternelle à l’endroit de mon jeune frère Aliou Bah (Président du Model) qui fut le seul leader politique à l’époque, à avoir le courage de condamner l’arrestation de mon cortège par les forces de l’ordre, le 21 février 2019 à la rentrée de Siguiri, et les violences qui s’en sont suivies contre ma délégation à la porte de Dinguiraye. Aujourd’hui, l’histoire se répète avec d’autres acteurs politiques visés, comme pour dire que personne ne peut être à l’abri quand l’arbitraire s’installe et que désormais, l’intolérance politique a atteint le seuil de l’indicible. Rappelez-vous cette assertion de François Mitterand : « il n’y a pas de blessure légère contre la liberté, elles sont toutes mortelles… »!
Dans ma conférence de presse du 8 septembre dernier, en rejetant toute perspective d’alliance avec le RPG arc-en-ciel suite à la main tendue de mon « papa spirituel », je flétrissais les dérives dictatoriales du Président Alpha Condé qui, reniant d’un coup les valeurs pour lesquels il semblait naguère se battre, s’acharne aujourd’hui à démanteler notre jeune démocratie (à laquelle, à l’en croire lui-même, il aura consacré 40 longues années de sa vie). Dans le même réquisitoire nous avons condamné par ailleurs, la posture incohérente et récidiviste de son principal challenger Cellou Dalein Diallo, un ancien fossoyeur de la démocratie guinéenne (je n’ai pas parlé de l’économie…😃😅), qui en participant à cette mascarade électorale, rendait la tâche beaucoup plus aisée aux putschistes civils tapis à l’ombre de Sékoutouréyah, en légitimant ainsi leur forfaiture. Aujourd’hui ce qui était prévisible se déroule sous nos yeux, mettant en mal notre unité nationale et notre espoir de vivre ensemble. En justifiant notre boycott de cette élection du 18 octobre, je rappelle ici un passage de mon discours du 8 septembre passé…était-ce une prophétie ? Non ! NgaBountou au marché Yénguéma aurait été capable de la même prédiction, tant elle était évidente : « nous refusons de prendre part à cette élection, car selon nous, en plus d’être une légitimation de la forfaiture du 3e mandat d’Alpha Condé, elle porte en elle les germes d’une forte violence politique et d’une grande fracture ethnique, au lieu de cimenter notre unité nationale, et fortifier notre démocratie, elle les fragilisera à coup sûr…nous refusons d’être des acteurs de cette impasse, après notre expérience amère de mars 2020 »! Ce jour-là, nous voulions montrer à nos amis de l’opposition, le loup qui rodait autour de la bergerie, mais hélas, au lieu de le fixer, ils ont plutôt regardé notre doigt !!!
Et maintenant, acta est fabula, l’UFDG et certains partis de l’opposition se sont engagés dans cette course mortifère au nom de la recherche d’une alternance, dont personnellement je ne comprends ni les contours ni les stratégies. Quand j’écoute les pleurnichements des uns et des autres aujourd’hui, je me demande à quoi s’attendaient-ils donc ? À un processus démocratique vertueuse à la suisse ou à la suédoise ? À ce que les militants de UFDG (nourris de préjugés) accueillent Kassory et sa délégation à Labé avec des myosotis ? À ce que les militants du RPG (nourris de manichéisme) accueillent Cellou et sa délégation avec des chrysanthèmes à Tokounou ? Non, vous rêviez ou quoi ? Réveillez-vous de ce sommeil hypocrite. Car la plus ridicule des hypocrisie, c’est de l’appliquer à soi-même. Un output est toujours la résultante des inputs correspondants.
Les inputs de notre démocratie bananière ont toujours été les préjugés ethniques, les violences physiques et verbales, l’ostracisation à outrance, la manipulation tribale, la corruption des esprits, l’instrumentalisation des couches vulnérables de la société etc. Ces inputs combinés ensemble produisent un cocktail explosif en passe de devenir un output ultime : la haine inter-ethnique. Alors, que ceux qui font semblant aujourd’hui d’être étonnés, soient étonnés de leur propre étonnement. C’est le contraire de ce qui se produit actuellement, qui aurait pu être étonnant. Car, comme le disait l’autre : « l’imbécilité c’est de croire qu’avec les mêmes méthodes on peut parvenir à des résultats différents… »!
J’ai dit ça ce matin ! Je n’en dirais pas plus !!!
Pourtant une Guinée unie est possible !!! Que Dieu sauve mon peuple !

Siaka Barry

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Le 18 octobre 2020, les Guinéens se rendront aux urnes pour élire, via le bulletin de vote, un président ou une présidente qui aura, pour les six années à venir, la lourde mais exaltante charge de réaliser les espoirs de développement et de bonheur de notre cher pays. Les périodes d’élection (présidentielle, législative, communale) sont d’ultimes moments où tout aspirant à un pouvoir électif vient demander la voix du citoyen électeur devenu ainsi roi et faiseur de roi.  En plus de ce qu’il sait déjà, comment aider l’électeur à mieux connaître les candidats pour qu’il puisse choisir en toute connaissance de cause ? C’est par et pour cela qu’est instituée la campagne électorale pour permettre à tous les aspirants au pouvoir de dire qui ils sont, qu’est-ce qu’ils ont fait et que proposent – ils de faire pour la Guinée pour les six ans à venir.  Pour diffuser, vulgariser et défendre largement leur bilan et/ou projet, les candidats sont fondés « à battre campagne » sur tout le territoire national conformément aux libertés d’expression, d’opinion, de circulation, de manifestation et de respect sacré de la vie humaine garanties par notre constitution. Tout citoyen est tenu de respecter et de faire respecter les dispositions de cette constitution.  L’élection est, ainsi, une compétition basée et fondée sur le débat et non l’affrontement qui se mène avec des arguments et non le fusil, le jet de pierres, les barricades ou les destructions. Nous devons, donc, refuser toute violence et incitation à la violence en préférant le dialogue à l’affrontement et la loi à la surenchère.  C’est le lieu et le moment de condamner fermement les violences intervenues dans cette campagne électorale à Labé, Dalaba et Kankan. Il en est de même des discours belliqueux, ethniques incitant à la haine, fragilisant le tissu social car, au delà de nos ambitions légitimes et de nos divergences, la nation doit demeurer.  Les Guinéens ont besoin d’élections mais d’élections apaisées, crédibles, inclusives et participatives porteuses de lendemains de paix et de développement pour leur pays. Il est vital et judicieux de veiller et éviter, par un appel à la responsabilité de tous, que l’élection ne soit un poison pour la quiétude et la stabilité sociales car, les guinéens n’ont pas besoin d’élections engendrant d’insupportables et inacceptables pertes en vies humaines, des blessés et de destruction de biens matériels.  Chacun a une part de responsabilité, avant, pendant et après le vote, dans la préservation de nos valeurs communes d’unité, de paix et d’aspiration au bonheur. Aux leaders politiques, sociaux et d’opinion, il est attendu, par les discours et les actes, la promotion, la défense de la nation éternelle et le développement du pays. Aux militants, sympathisants des partis politiques incombent le respect des lois de la république. A la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), d’assurer, de rassurer et de prouver aux électeurs son aptitude et sa capacité à organiser des élections crédibles reflétant leur choix et traduisant la véracité des votes qui sont des ingrédients de paix et de quiétude dans le pays. A l’Etat, à travers les forces de défense, de sécurité et la justice, il revient la protection des citoyens pour qu’ils jouissent des droits qui leurs sont reconnus par les lois de la république.  Dans l’Etat de droit, s’il y a des contentieux lors d’un vote, il est prévu des moyens et voies de recours de résolution pacifique des différends sur la base des lois de la République. Recourons à ces voies légales à chaque fois que de besoin. Et par-dessus tout, à tout moment et en tout lieu, renonçons à la violence et cultivons la paix.  L’équation élection = violence et conflit n’est donc pas une fatalité. Pour démentir la catastrophe tant redoutée, il suffirait que chacun se réapproprie son rôle et ses responsabilités d’acteur soucieux de la préservation de la stabilité politique et de la cohésion nationale que tant de pays nous envient. Alors, à chacun de jouer sa partition pendant qu’il est encore temps.  Oui au débat, non à l’affrontement ;  Oui à la compétition, non à la confrontation et à la violence ;  Oui au vote libre et utile à tous et au pays.  Mamadou Taran DIALLO  Ministre de la Citoyenneté et de l’Unité Nationale  Transmis par la Cellule de Communication du Gouvernement

Le 18 octobre 2020, les Guinéens se rendront aux urnes pour élire, via le bulletin de vote, un président ou une présidente qui aura, pour les six années à venir, la lourde mais exaltante charge de réaliser les espoirs de développement et de bonheur de notre cher pays. Les périodes d’élection (présidentielle, législative, communale) sont d’ultimes moments où tout aspirant à un pouvoir électif vient demander la voix du citoyen électeur devenu ainsi roi et faiseur de roi. En plus de ce qu’il sait déjà, comment aider l’électeur à mieux connaître les candidats pour qu’il puisse choisir en toute connaissance de cause ? C’est par et pour cela qu’est instituée la campagne électorale pour permettre à tous les aspirants au pouvoir de dire qui ils sont, qu’est-ce qu’ils ont fait et que proposent – ils de faire pour la Guinée pour les six ans à venir. Pour diffuser, vulgariser et défendre largement leur bilan et/ou projet, les candidats sont fondés « à battre campagne » sur tout le territoire national conformément aux libertés d’expression, d’opinion, de circulation, de manifestation et de respect sacré de la vie humaine garanties par notre constitution. Tout citoyen est tenu de respecter et de faire respecter les dispositions de cette constitution. L’élection est, ainsi, une compétition basée et fondée sur le débat et non l’affrontement qui se mène avec des arguments et non le fusil, le jet de pierres, les barricades ou les destructions. Nous devons, donc, refuser toute violence et incitation à la violence en préférant le dialogue à l’affrontement et la loi à la surenchère. C’est le lieu et le moment de condamner fermement les violences intervenues dans cette campagne électorale à Labé, Dalaba et Kankan. Il en est de même des discours belliqueux, ethniques incitant à la haine, fragilisant le tissu social car, au delà de nos ambitions légitimes et de nos divergences, la nation doit demeurer. Les Guinéens ont besoin d’élections mais d’élections apaisées, crédibles, inclusives et participatives porteuses de lendemains de paix et de développement pour leur pays. Il est vital et judicieux de veiller et éviter, par un appel à la responsabilité de tous, que l’élection ne soit un poison pour la quiétude et la stabilité sociales car, les guinéens n’ont pas besoin d’élections engendrant d’insupportables et inacceptables pertes en vies humaines, des blessés et de destruction de biens matériels. Chacun a une part de responsabilité, avant, pendant et après le vote, dans la préservation de nos valeurs communes d’unité, de paix et d’aspiration au bonheur. Aux leaders politiques, sociaux et d’opinion, il est attendu, par les discours et les actes, la promotion, la défense de la nation éternelle et le développement du pays. Aux militants, sympathisants des partis politiques incombent le respect des lois de la république. A la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), d’assurer, de rassurer et de prouver aux électeurs son aptitude et sa capacité à organiser des élections crédibles reflétant leur choix et traduisant la véracité des votes qui sont des ingrédients de paix et de quiétude dans le pays. A l’Etat, à travers les forces de défense, de sécurité et la justice, il revient la protection des citoyens pour qu’ils jouissent des droits qui leurs sont reconnus par les lois de la république. Dans l’Etat de droit, s’il y a des contentieux lors d’un vote, il est prévu des moyens et voies de recours de résolution pacifique des différends sur la base des lois de la République. Recourons à ces voies légales à chaque fois que de besoin. Et par-dessus tout, à tout moment et en tout lieu, renonçons à la violence et cultivons la paix. L’équation élection = violence et conflit n’est donc pas une fatalité. Pour démentir la catastrophe tant redoutée, il suffirait que chacun se réapproprie son rôle et ses responsabilités d’acteur soucieux de la préservation de la stabilité politique et de la cohésion nationale que tant de pays nous envient. Alors, à chacun de jouer sa partition pendant qu’il est encore temps. Oui au débat, non à l’affrontement ; Oui à la compétition, non à la confrontation et à la violence ; Oui au vote libre et utile à tous et au pays. Mamadou Taran DIALLO Ministre de la Citoyenneté et de l’Unité Nationale Transmis par la Cellule de Communication du Gouvernement

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