Ce sont deux noms que les couloirs de l’école ne sont pas près d’oublier. À Montréal, lors de la grande finale internationale de la Dictée PGL, Mohamed Traoré et Fatoumata Barry ont défendu avec brio les couleurs de la Guinée, offrant au pays une place de choix sur la scène francophone.
Lui vient de l’école « Les Écureuils », elle fréquente « La Lumière de Guinée ». Deux parcours distincts, une même ambition : celle de réussir par le mérite. Leur victoire, selon leurs encadreurs, repose sur des fondations solides. « Leur performance ne relève pas du hasard : elle est le fruit d’un travail acharné, d’une éducation de qualité, mais aussi d’un encadrement pédagogique exemplaire. »
Pour la Guinée, ce succès n’est pas seulement symbolique. Il incarne une dynamique portée depuis plusieurs années par l’Association des écoles privées de Guinée.
Derrière les pupitres de leurs classes respectives, Mohamed et Fatoumata sont déjà des modèles. Des visages qui traduisent les efforts silencieux menés au quotidien dans les salles de classe. Leurs établissements, reconnus pour la qualité de leur instruction, peuvent se réjouir.
Alpha