Le procès en flagrant délit intenté contre le leader du parti politique MoDeL s’est ouvert ce mardi 31 décembre 2024 devant le tribunal de première instance de Kaloum. Placé sous mandat de dépôt à la maison centrale, l’opposant répond des charges des d’offenses et de diffamation à l’endroit du président de la transition, le Général Mamadi Doumbouya.
À la barre entouré de ses avocats, Aliou Bah a rejette les accusations retenues contre lui.
« Je n’ai jamais offensé le chef de l’État guinéen. Quand j’étais à la gendarmerie, ils m’ont montré une vidéo dans laquelle je dénonçais l’insécurité et les kidnappings qui sont devenus récurrents dans notre pays. J’ai rappelé aussitôt aux religieux de prendre leurs responsabilités en disant la vérité et de ne pas rester silencieux face à certains problèmes qui assaillent notre pays » s’est-il défendu.
Nous y reviendrons !