Alors que le débat alimente la cité. L’interpellation musclée des leaders du FNDC notamment Foniké Menguè, Djani Alpha et Billo Bah continue s’indigner de nombreux défenseurs des droits humains. Mais pour le procureur général près la cour d’appel de Conakry, Alphonse Charles Wright, c’est le refus d’obtempérer des concernés qui est à la base de cette attestation forcée. Le chef du parquet dénonce une tentative de récupération politique d’un dossier judiciaire.
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La rédaction !