《Je suis très heureux du fait qu’on dise que le dossier de Air Guinée a été transféré à la CRIEF. Je sais qu’on en finira une fois pour toute.
Vous savez, à chaque changement de régime, à l’approche de chaque échéance électorale, à cause du poids électoral de l’UFDG, à cause de la confiance qu’on a venant du peuple, ceux qui veulent disqualifier Cellou Dalein Diallo sortent des dossiers pour faire de l’intoxication et de la diffamation.
Étant à l’opposition, face à la dictature d’Alpha Condé, nous avons gagné les présidentielles du 18 Octobre 2020 avec 53,84% dès le premier tour.
Les Guinéens savent que Cellou Dalein Diallo est la chance pour la Guinée. Ils savent que nous luttons pour des valeurs, nous cherchons le pouvoir pour aider tous les Guinéens. C’est pourquoi il y a des adhésions majeures à chaque fois.
C’est ce qui suscite de la jalousie, malheureusement de l’animosité venant de ceux qui cherchent à nous nuire.
Je vous dis ceci : »il n’y a rien contre moi et mes collaborateurs. Je ne suis pas un homme d’argent, je suis un homme d’honneur. Soyez mentalement prêts, moi je suis prêt « .
Le Colonel Mamadi Doumbouya a dit d’éviter les erreurs du passé. Moi je lui dis ceci : »la première erreur du passé a été de donner le pouvoir à quelqu’un qui n’a pas été élu. Alpha Condé n’a pas été élu en 2010. C’est pourquoi il a refusé de respecter les lois et les engagements. Il n’a pas voulu organiser les élections à bonne date car il savait qu’il n’était pas légitime. La deuxième erreur du passé est le manque de dialogue, vouloir s’enfermer quelque part et dire que tel est bon, tel mérite, tel ne mérite pas. » Il faut donc que le Colonel Mamadi Doumbouya se rappelle de ces erreurs du passé pour les éviter. Je veux qu’il organise des élections libres et transparentes avec son équipe et qu’il rentre dans l’histoire et devenir le père de la démocratie.
Je relance cet appel au Colonel Mamadi Doumbouya : »il faut qu’il accepte d’ouvrir un cadre de dialogue entre le CNRD, les politiques, la société civile, le CNT pour décider ensemble de la transition. Nous sommes en période d’exception. Il n’y a pas de légitimité. Il faut qu’on dialogue pour trouver un consensus, prévenir les conflits et préserver la paix. »
Aux militants, sympathisants et responsables de l’UFDG et de l’ANAD, remobilisés nos troupes, soyons prêts pour la victoire.》