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Le 18 octobre 2020, les Guinéens se rendront aux urnes pour élire, via le bulletin de vote, un président ou une présidente qui aura, pour les six années à venir, la lourde mais exaltante charge de réaliser les espoirs de développement et de bonheur de notre cher pays. Les périodes d’élection (présidentielle, législative, communale) sont d’ultimes moments où tout aspirant à un pouvoir électif vient demander la voix du citoyen électeur devenu ainsi roi et faiseur de roi. En plus de ce qu’il sait déjà, comment aider l’électeur à mieux connaître les candidats pour qu’il puisse choisir en toute connaissance de cause ? C’est par et pour cela qu’est instituée la campagne électorale pour permettre à tous les aspirants au pouvoir de dire qui ils sont, qu’est-ce qu’ils ont fait et que proposent – ils de faire pour la Guinée pour les six ans à venir. Pour diffuser, vulgariser et défendre largement leur bilan et/ou projet, les candidats sont fondés « à battre campagne » sur tout le territoire national conformément aux libertés d’expression, d’opinion, de circulation, de manifestation et de respect sacré de la vie humaine garanties par notre constitution. Tout citoyen est tenu de respecter et de faire respecter les dispositions de cette constitution. L’élection est, ainsi, une compétition basée et fondée sur le débat et non l’affrontement qui se mène avec des arguments et non le fusil, le jet de pierres, les barricades ou les destructions. Nous devons, donc, refuser toute violence et incitation à la violence en préférant le dialogue à l’affrontement et la loi à la surenchère. C’est le lieu et le moment de condamner fermement les violences intervenues dans cette campagne électorale à Labé, Dalaba et Kankan. Il en est de même des discours belliqueux, ethniques incitant à la haine, fragilisant le tissu social car, au delà de nos ambitions légitimes et de nos divergences, la nation doit demeurer. Les Guinéens ont besoin d’élections mais d’élections apaisées, crédibles, inclusives et participatives porteuses de lendemains de paix et de développement pour leur pays. Il est vital et judicieux de veiller et éviter, par un appel à la responsabilité de tous, que l’élection ne soit un poison pour la quiétude et la stabilité sociales car, les guinéens n’ont pas besoin d’élections engendrant d’insupportables et inacceptables pertes en vies humaines, des blessés et de destruction de biens matériels. Chacun a une part de responsabilité, avant, pendant et après le vote, dans la préservation de nos valeurs communes d’unité, de paix et d’aspiration au bonheur. Aux leaders politiques, sociaux et d’opinion, il est attendu, par les discours et les actes, la promotion, la défense de la nation éternelle et le développement du pays. Aux militants, sympathisants des partis politiques incombent le respect des lois de la république. A la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), d’assurer, de rassurer et de prouver aux électeurs son aptitude et sa capacité à organiser des élections crédibles reflétant leur choix et traduisant la véracité des votes qui sont des ingrédients de paix et de quiétude dans le pays. A l’Etat, à travers les forces de défense, de sécurité et la justice, il revient la protection des citoyens pour qu’ils jouissent des droits qui leurs sont reconnus par les lois de la république. Dans l’Etat de droit, s’il y a des contentieux lors d’un vote, il est prévu des moyens et voies de recours de résolution pacifique des différends sur la base des lois de la République. Recourons à ces voies légales à chaque fois que de besoin. Et par-dessus tout, à tout moment et en tout lieu, renonçons à la violence et cultivons la paix. L’équation élection = violence et conflit n’est donc pas une fatalité. Pour démentir la catastrophe tant redoutée, il suffirait que chacun se réapproprie son rôle et ses responsabilités d’acteur soucieux de la préservation de la stabilité politique et de la cohésion nationale que tant de pays nous envient. Alors, à chacun de jouer sa partition pendant qu’il est encore temps. Oui au débat, non à l’affrontement ; Oui à la compétition, non à la confrontation et à la violence ; Oui au vote libre et utile à tous et au pays. Mamadou Taran DIALLO Ministre de la Citoyenneté et de l’Unité Nationale Transmis par la Cellule de Communication du Gouvernement

@alpha by @alpha
12 octobre 2020
in Actualités, Politique
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Le 18 octobre 2020, les Guinéens se rendront aux urnes pour élire, via le bulletin de vote, un président ou une présidente qui aura, pour les six années à venir, la lourde mais exaltante charge de réaliser les espoirs de développement et de bonheur de notre cher pays. Les périodes d’élection (présidentielle, législative, communale) sont d’ultimes moments où tout aspirant à un pouvoir électif vient demander la voix du citoyen électeur devenu ainsi roi et faiseur de roi.  En plus de ce qu’il sait déjà, comment aider l’électeur à mieux connaître les candidats pour qu’il puisse choisir en toute connaissance de cause ? C’est par et pour cela qu’est instituée la campagne électorale pour permettre à tous les aspirants au pouvoir de dire qui ils sont, qu’est-ce qu’ils ont fait et que proposent – ils de faire pour la Guinée pour les six ans à venir.  Pour diffuser, vulgariser et défendre largement leur bilan et/ou projet, les candidats sont fondés « à battre campagne » sur tout le territoire national conformément aux libertés d’expression, d’opinion, de circulation, de manifestation et de respect sacré de la vie humaine garanties par notre constitution. Tout citoyen est tenu de respecter et de faire respecter les dispositions de cette constitution.  L’élection est, ainsi, une compétition basée et fondée sur le débat et non l’affrontement qui se mène avec des arguments et non le fusil, le jet de pierres, les barricades ou les destructions. Nous devons, donc, refuser toute violence et incitation à la violence en préférant le dialogue à l’affrontement et la loi à la surenchère.  C’est le lieu et le moment de condamner fermement les violences intervenues dans cette campagne électorale à Labé, Dalaba et Kankan. Il en est de même des discours belliqueux, ethniques incitant à la haine, fragilisant le tissu social car, au delà de nos ambitions légitimes et de nos divergences, la nation doit demeurer.  Les Guinéens ont besoin d’élections mais d’élections apaisées, crédibles, inclusives et participatives porteuses de lendemains de paix et de développement pour leur pays. Il est vital et judicieux de veiller et éviter, par un appel à la responsabilité de tous, que l’élection ne soit un poison pour la quiétude et la stabilité sociales car, les guinéens n’ont pas besoin d’élections engendrant d’insupportables et inacceptables pertes en vies humaines, des blessés et de destruction de biens matériels.  Chacun a une part de responsabilité, avant, pendant et après le vote, dans la préservation de nos valeurs communes d’unité, de paix et d’aspiration au bonheur. Aux leaders politiques, sociaux et d’opinion, il est attendu, par les discours et les actes, la promotion, la défense de la nation éternelle et le développement du pays. Aux militants, sympathisants des partis politiques incombent le respect des lois de la république. A la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), d’assurer, de rassurer et de prouver aux électeurs son aptitude et sa capacité à organiser des élections crédibles reflétant leur choix et traduisant la véracité des votes qui sont des ingrédients de paix et de quiétude dans le pays. A l’Etat, à travers les forces de défense, de sécurité et la justice, il revient la protection des citoyens pour qu’ils jouissent des droits qui leurs sont reconnus par les lois de la république.  Dans l’Etat de droit, s’il y a des contentieux lors d’un vote, il est prévu des moyens et voies de recours de résolution pacifique des différends sur la base des lois de la République. Recourons à ces voies légales à chaque fois que de besoin. Et par-dessus tout, à tout moment et en tout lieu, renonçons à la violence et cultivons la paix.  L’équation élection = violence et conflit n’est donc pas une fatalité. Pour démentir la catastrophe tant redoutée, il suffirait que chacun se réapproprie son rôle et ses responsabilités d’acteur soucieux de la préservation de la stabilité politique et de la cohésion nationale que tant de pays nous envient. Alors, à chacun de jouer sa partition pendant qu’il est encore temps.  Oui au débat, non à l’affrontement ;  Oui à la compétition, non à la confrontation et à la violence ;  Oui au vote libre et utile à tous et au pays.  Mamadou Taran DIALLO  Ministre de la Citoyenneté et de l’Unité Nationale  Transmis par la Cellule de Communication du Gouvernement
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Le 18 octobre 2020, les Guinéens se rendront aux urnes pour élire, via le bulletin de vote, un président ou une présidente qui aura, pour les six années à venir, la lourde mais exaltante charge de réaliser les espoirs de développement et de bonheur de notre cher pays. Les périodes d’élection (présidentielle, législative, communale) sont d’ultimes moments où tout aspirant à un pouvoir électif vient demander la voix du citoyen électeur devenu ainsi roi et faiseur de roi.

En plus de ce qu’il sait déjà, comment aider l’électeur à mieux connaître les candidats pour qu’il puisse choisir en toute connaissance de cause ? C’est par et pour cela qu’est instituée la campagne électorale pour permettre à tous les aspirants au pouvoir de dire qui ils sont, qu’est-ce qu’ils ont fait et que proposent – ils de faire pour la Guinée pour les six ans à venir.

Pour diffuser, vulgariser et défendre largement leur bilan et/ou projet, les candidats sont fondés « à battre campagne » sur tout le territoire national conformément aux libertés d’expression, d’opinion, de circulation, de manifestation et de respect sacré de la vie humaine garanties par notre constitution. Tout citoyen est tenu de respecter et de faire respecter les dispositions de cette constitution.

L’élection est, ainsi, une compétition basée et fondée sur le débat et non l’affrontement qui se mène avec des arguments et non le fusil, le jet de pierres, les barricades ou les destructions. Nous devons, donc, refuser toute violence et incitation à la violence en préférant le dialogue à l’affrontement et la loi à la surenchère.

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Les Guinéens ont besoin d’élections mais d’élections apaisées, crédibles, inclusives et participatives porteuses de lendemains de paix et de développement pour leur pays. Il est vital et judicieux de veiller et éviter, par un appel à la responsabilité de tous, que l’élection ne soit un poison pour la quiétude et la stabilité sociales car, les guinéens n’ont pas besoin d’élections engendrant d’insupportables et inacceptables pertes en vies humaines, des blessés et de destruction de biens matériels.

Chacun a une part de responsabilité, avant, pendant et après le vote, dans la préservation de nos valeurs communes d’unité, de paix et d’aspiration au bonheur. Aux leaders politiques, sociaux et d’opinion, il est attendu, par les discours et les actes, la promotion, la défense de la nation éternelle et le développement du pays. Aux militants, sympathisants des partis politiques incombent le respect des lois de la république. A la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), d’assurer, de rassurer et de prouver aux électeurs son aptitude et sa capacité à organiser des élections crédibles reflétant leur choix et traduisant la véracité des votes qui sont des ingrédients de paix et de quiétude dans le pays. A l’Etat, à travers les forces de défense, de sécurité et la justice, il revient la protection des citoyens pour qu’ils jouissent des droits qui leurs sont reconnus par les lois de la république.

Dans l’Etat de droit, s’il y a des contentieux lors d’un vote, il est prévu des moyens et voies de recours de résolution pacifique des différends sur la base des lois de la République. Recourons à ces voies légales à chaque fois que de besoin. Et par-dessus tout, à tout moment et en tout lieu, renonçons à la violence et cultivons la paix.

L’équation élection = violence et conflit n’est donc pas une fatalité. Pour démentir la catastrophe tant redoutée, il suffirait que chacun se réapproprie son rôle et ses responsabilités d’acteur soucieux de la préservation de la stabilité politique et de la cohésion nationale que tant de pays nous envient. Alors, à chacun de jouer sa partition pendant qu’il est encore temps.

Oui au débat, non à l’affrontement ;

Oui à la compétition, non à la confrontation et à la violence ;

Oui au vote libre et utile à tous et au pays.

 

 

Mamadou Taran DIALLO

Ministre de la Citoyenneté et de l’Unité Nationale

 

Transmis par la Cellule de Communication du Gouvernement

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