C’est une journée cruciale pour le voisin malien. La deuxième conférence des chefs d’état et de gouvernement a ouvert ses travaux ce matin pour débattre de la crise malienne.
Le sommet qui se tient en visioconférence pourrait prendre de fortes mesures pour une transition rapide et apaisée au Mali.
Le retour au pouvoir du président déchu, Ibrahime Boubacar Keita(IBK) étant écarté, la CEDEAO aura à statuer sur le profil de celui qui doit diriger la transition mais aussi surtout le délai de la transition.
La rencontre sera également une occasion pour les Chef de l’état et de gouvernement de revoir les sanctions imposées au Mali après le coup d’état.
Au lendemain du putsch, la CEDEAO a décidé de la fermeture de ses frontières et imposée des sanctions économiques pour contraindre les militaires maliens à retablir l’ordre constitutionnel.
Mais les derniers développements de l’actualité marqués par la libération de l’ancien président seront des éléments qui guideront les prochaines décisions de la communauté économique des états de l’afrique de l’ouest.
Nous y reviendrons!
La rédaction.