La bataille judiciaire engagée par le Front national pour la défense de la Constitution contre le régime d’Alpha Condé, à la Cour pénale internationale, s’avère bouillante.
Chaque champ tire actuellement à boulet rouge sur l’autre, comme c’est le cas du président de l’organe provisoire du MoDeL et membre du FNDC. Aliou Bah, puisque c’est de lui qu’il s’agit, se moque du camp d’en face et prévient le locataire du palais Sekhoutoureya : « Qui avait dit que le FNDC n’existait plus. Ah la panique et l’amateurisme dans les rangs des criminels ! Et pourtant nous ne sommes qu’au début du cauchemar », a-t-il posté sur sa page Facebook.